Nouvelle Zélande : un petit côté « brittish »!

Publié le 26 Février 2016

Nouvelle Zélande : un petit côté  « brittish »!
Nouvelle Zélande : un petit côté  « brittish »!

Nous voilà directement dans le bain quand l'avion se pose sur le tarmac d'Auckland. Certains se précipitent pour récupérer leur bagage cabine et sortir de l'avion. Mais ce comportement outre le gentleman assis à côté de moi, qui leur demande de reculer et de laisser sortir chacun à son tour. Et là, avec le sourire de celui qui a maîtrisé avec brio une situation embarrassante, il me fait signe de me lever: "Madame, c'est à vous!"
Ah que j'ai toujours aimé cette tendance infiniment polie, qui nous paraît un peu vieille France, mais toujours si craquante quand on la retrouve de l'autre côté de la mer. Ce n'est pas de la discipline, c'est de la courtoisie.
Être un gentleman, ce sera aussi, par exemple, à Queenstown, installer sa slackline entre deux arbres et en faire profiter tout le monde, et attendre son tour tranquillement en discutant ou en complimentant les acrobates en herbe.
Vous l'avez compris, j'ai un petit faible très sérieux. Je sais, cela a commencé quand j'avais 18 ans en Angleterre. Parce que quand même, pour faire 350 km pour conduire deux inconnues (dont moi en l’occurrence) qui ont sonné à ta porte pour qu'elles puissen avoir leur bateau alors qu'il y a grève des trains, et que ton patron trouve ça normal, il faut être au Brittish land.


Et bien donc, vous voilà prévenus, nous sommes bien arrivés en Nouvelle-Zélande en nous allons faire le tour de l'île sud en quinze jours.
Notre périple commence sous la pluie avec la récupération de notre camper van. En espérant qu'il ne pleuve pas tout le temps, parce sinon, à quatre dans une camionnette, on risque de se sentir à l'étroit! Parée pour 3200 km, petite maison sur roues? Allez, c'est parti!
On commence à rouler vers le mont Cook, le plus haut sommet de Nouvelle-Zélande. Des paysages magnifiques éclaboussent notre route. Avec Bidule, notre camper-van, les enfants retrouve la joie de cuisiner. Flora va même jusqu’à nous faire de la mousse au chocolat ! Bidule est très bien équipé, un peu trop même puisqu’on y trouve grille-pain et bouilloire électrique, mais que les campings, excepté certains camping privés, ne possèdent pas d’électricité, et pour la plupart d’ailleurs, même pas de douches. Quand nous n’avions pas de douche au camping, nous nous sommes donc lavés dans une bassine, dans les rivières, avec notre douche solaire ou dans les rares douches publiques.

Bidule n’est pas tout jeune, et a fait des siennes dès le premier jour : après 150 km, un voyant s’allume, orange, annonçant un problème électrique. Nous appelons l’agence, qui nous dit de faire demi-tour pour changer de van. Nous refaisons donc 70 km dans l’autre sens quand un technicien de l’agence nous rappelle, nous disant que ce n’est pas un gros souci (ce n’est qu’orange, et pas rouge) et que nous pouvons continuer la route avec Bidule, qu’il faut « juste » surveiller tous les jours les niveaux d’huile et d’eau. Sachant que la jauge d’huile se trouve sous le siège passager, qui nous sert à stocker valises et sacs à dos, c’est assez pratique ! Mais en fait, je pense bien qu’ils n’ont pas d’autre véhicule à nous donner…

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Donc, retour dans l’autre sens, on le garde et on prendra soin de notre Bidule !

A mi-chemin entre Christchurch et le Mont Cook, le lac Tekapo est un immense lac à l’eau limpide et turquoise, entouré de montagnes aux sommets enneigés. Personne ne s’y baigne. On se demande si c’est interdit, mais non, c’est juste que personne ne s’y baigne… donc on ne va pas se priver, même si elle est un peu froide. Il faut dire que la Nouvelle-Zélande n’est pas un pays très peuplé. Nous faisons des centaines de kilomètres en croisant très peu d’habitations. Ceci implique cela, si tu croises une station-service, même si ton réservoir est à moitié plein, tu t’arrêtes.

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Arrivés au Mont Cook en début de soirée, il fait plutôt beau. Nous allons explorer les chemins de rando que nous pourrons faire le lendemain. Mais c’était sans compter que dans la nuit, un vent épouvantable accompagné de pluie se lèverait, secouant Bidule et ses voisins dans tous les sens et nous empêchant tous de dormir. Donc nous repartons bredouilles de randonnées, un peu déçus certes, mais la météo fait partie du jeu. J’avoue qu’après avoir vécu sous un soleil de plomb depuis septembre, on avait oublié l’existence potentielle de la pluie et du froid…

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Autant être en ville quand le temps est mitigé, direction Queenstown. Cette petite ville mignonne et à taille très humaine est parait-il un concentré de ce que l’on peut voir et du mode de vie en Nouvelle-Zélande.

Première devise et non des moindres, la vie en société en Nouvelle-Zélande commence par un systématique « Hi, how are you ? », que tu sois au supermarché, au parc, au sport, que tu aies ou non gardé les cochons ensemble avec ton interlocuteur. Ce « hi, how are you », est assez souvent suivi d’un « fine, and you ? » ou reste parfois sans réponse, mais en tout cas ne vous avisez pas, à la question « how are you ? » de votre caissière de supermarché, de répondre : « Ca ne va pas trop » ou « bof » ou « comme le temps » ou « comme les vieux » (non, hé !,on est dans un autre hémisphère !;)) et d’étaler vos problèmes, ça ne semble pas être de bon ton, ni dans les habitudes de la maison Nouvelle-Zélande. Ici, tout le monde pratique la méthode Coué, « Si je dis que ça va bien, j’irai bien », et cela a l’air franchement de marcher plutôt bien. Les gens ont le sourire facile et semblent avoir une pêche d’enfer. Ce qui j’avoue, rend la vie légère. Autant l’éternel « how are you, I’m fine » avec le sourire enrichit le soleil des autres, autant un « comme le temps » (hé ! A condition qu’il fasse mauvais, hein, sinon c’est que t’as rien compris !) a le don de plomber le moral de celui qui a la gentillesse de prendre de tes nouvelles, et qui répondra donc un « comme les vieux » à la personne suivante de la chaine, histoire de se venger de son soleil entaché… (A bon entendeur, Messieurs Dames, le premier qui me le sort, je l’étripe ! Et méfiez vous, j’ai vu comment on faisait avec les poulets, à Madagascar ! Vous avez encore 4 mois pour vous entrainer !;) Et le « comme le temps »…, si on se le disait plutôt quand il fait beau ?)

Queenstown, avec son grand lac central, ressemble un peu à Annecy. Le samedi, les parcs y débordent de sportifs en famille. Les installations sportives y sont simples et efficaces. On y trouve par exemple des cordes placées pour faire Tarzan au dessus de tous petits ruisseaux. Nous avons observé le freezebee-golf, jeu très pratiqué dans les parcs et demandant très peu de matériel. On y voit aussi du roller, de la course à pied, de la slackline, du vélo, du pédalo, de l’aqua-bike, du paddle, du kayak, de l’hydro attack (ça c’est un habitacle submersible en forme de requin qui fonce sur et sous l’eau), du parapente, du parachute ascensionnel, de l’hoverboard, de la luge sur piste, et j’en passe. Ici à mon avis, si tu veux pratiquer n’importe quel sport abracadabrantesque, c’est possible. Pas étonnant que Queenstown soit élue capitale mondiale des sports extrêmes…

Nous nous sommes cantonnés à l’aqua-bike et à la luge sur piste, ce qui n’était déjà pas mal !

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Pour atteindre les pistes de luge, on prend un téléphérique puis on remonte les pistes en télésiège. Même les mamys s’éclatent ! Enfin, je dis ça, mais c’est difficile de leur donner un âge, car les personnes les plus âgées que nous pouvons rencontrer en Nouvelle-Zélande paraissent encore relativement jeunes. Soixante-dix ans au plus. Alors, on se pose des questions : est-ce que c’est avoir la banane qui conserve ? Où l’air de la mer ? Ou bien les personnes âgées sont elles bien cachées ? Ou encore ne fait-on pas de vieux os en Nouvelle-Zélande ? (cette dernière hypothèse me paraissant peu probable) ?
En tout cas, on n’a pas vu un fauteuil roulant, ni une canne, ni un déambulateur de notre séjour…

D’ailleurs, à ce propos, laissez-moi l’immense honneur et la grande joie de vous présenter, Mesdames et Messieurs, le doyen de notre séjour ! N’est-il pas trognon, à promener son chien et son mouton ?

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Et là, tout de suite, on a envie de lui inventer une histoire, pour faire de lui un être éternel gravé dans les mémoires.

Elle pourrait être par exemple : « Je m’appelle Joe Mac Allister. Employé municipal à la mairie de Queenstown, j’ai toujours rêvé qu’un jour, j’habiterais dans les vertes montagnes de ma Zélande natale. Je garderais les chèvres et les moutons le jour, et le soir, au coin du feu, je conterais fleurette à ma bergère. Mais me voilà maintenant retraité municipal. Alors, pour vivre un peu ce rêve, avec ma petite retraite, j’ai décidé de m’acheter une brebis pour me tenir compagnie dans mon petit appartement. J’en prends soin, voyez-vous ! Je la promène matin et soir. Je lui ramène des salades et du persil frais du supermarché. Evidemment, quand la caissière me voit arriver chaque matin avec mes 15 salades, elle me regarde toujours avec le même visage circonspect. Cela me fait rire intérieurement. Alors histoire de m'amuser un peu, parfois je change. Je prends 12 bottes de poireaux ou de céleri, juste pour voir encore son petit air interrogateur qui lui va si bien… Vous savez, depuis la mort de ma femme, je n'ai plus grand monde à qui parler. Alors j'égaie mes journées à ma manière. Le matin, caché derrière le rideau qui donne sur l'entrée de la maison, je guette l'arrivée du facteur. Tous les jours il m'amène des publicités. Dès qu'il est passé je vais les chercher, et de dix heures à midi, je les lis, cela me tient compagnie. Souvent aussi, je parle à ma brebis ; ça peut paraître un peu bête mais je sais qu'elle me comprend. Bien sûr, j’ai aussi acheté un chien de berger, pour veiller sur elle. Ah, c’est qu’elle est heureuse, ma brebis ! Telle est ma vie. Mais voilà, il faut que je vous dise…. »

GRAND CONCOURS - GRAND CONCOURS - GRAND CONCOURS

A vous de raconter la suite ! Envoyez-nous vos réponses via le formulaire de contact, nos préférées seront mises en ligne !

Bon, maintenant, revenons à nos moutons ! Après Queenstown, nous repartons vers Te Anau et le Milford Sound. Nous nous arrêtons pour dormir sur une aire de repos où il a l’air à peu près toléré de dormir. Cet endroit au bord d’un lac turquoise, avec sa petite plage, serait propice à l’allumage d’un feu de camp, mais à cet endroit, ce n’est pas autorisé.

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Le Milford Sound, où a été tourné une partie du Seigneur des Anneaux, est un fjord magnifique au creux des montagnes. Pour nous remercier d’avoir participé à la première sortie de la journée, l’équipage du bateau nous offre un délicieux petit déjeuner à bord, égard que nous apprécions vraiment. Il fait plutôt gris, et les dauphins ne remontent pas tellement à la surface, mais nous aurons quand-même la chance d’en apercevoir quelques-uns.

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Le bateau nous mène ensuite à un observatoire sous-marin. Nous descendons, par un long escalier, dans une pièce entièrement vitrée, d’où nous pouvons observer la vie marine. Poissons, étoiles de mer, anémones, méduses… nous rendent visite.

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A Te Anau, nous reprendrons un autre bateau pour le Doubtful Sound, un autre fiord, (pas moche lui non plus !) au creux duquel nous rejoignons une grotte aux vers luisants. Ces petits vers ne sont pas des vers, mais des larves. Adultes, elles deviennent une sorte de coléoptère. Les larves se nourrissent d’insectes. Quand elles ont faim, elles sont lumineuses, ce qui attire les insectes, et quand elles sont repues, leur luminosité baisse. Nous nous baladons en barque à travers la grotte dans le noir absolu afin de profiter de ces petites merveilles.

Direction maintenant le glacier Franz Josef, l’un des glaciers les plus grands de Nouvelle-Zélande. A l’autre bout de la planète, les problèmes environnementaux sont les mêmes que chez nous et le réchauffement climatique fait reculer ces glaciers de manière impressionnante. Du coup, il est dangereux de l’escalader, et le seul moyen d’accéder à son sommet est l’hélico. Lors de notre balade, nous sommes donc accompagnés du doux vrombissement régulier de ces engins volants.

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Nous remontons la côte ouest vers Punakaiki et nous arrivons aux fameux Pancakes Rocks. A cet endroit, des couches de sédiments se sont déposées de telle manière que la roche ressemble à des tas de crêpes empilées. D’autre part, la mer a érodé, creusé ces rochers, se frayant un passage et donnant naissance à des piscines ou chaudrons de roche. Au milieu de ce paysage, les vagues explosent sur les rochers pour ajouter au charme sauvage du lieu.

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Cette fois nous atteignons l’extrême pointe nord et le parc national Abel Tasman. Oh, je me rends compte à cet instant que je ne vous ai pas encore parlé de l’emblème national, dont les Néo-Zélandais sont si fiers, le kiwi ! Cet oiseau dont on parle partout, on en a vus, certes, mais très peu. On a vu beaucoup plus souvent les wekas, d’autres oiseaux qui lui ressemblent mais avec le bec moins long. Adrien et Flora ont passé avec aisance leur badge de « kiwi ranger », protecteurs de la nature et de ces oiseaux, à notre campement.

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Nous profitons de la plage et nous voilà le soir, avec le bureau du camping fermé, qui annonce « no vacancies ». Sachant que la route pour arriver jusque là comporte 20 km de sable et de caillasse et qu’il n’y a pas d’autre logement dans les environs, à part le camping sauvage qui est interdit, nous nous retrouvons avec une autre famille française, à nous demander si on reste ou pas pour la nuit, en surbooking. L’union faisant la force, nous restons ensemble dans un petit coin inhabité de ce camping. Nous passons une très bonne soirée, à parler cocotiers, avec nos nouveaux amis qui vivent en Nouvelle-Calédonie. Le réveil matinal par les gardes du camping est un peu plus épique : d’abord quelques coups frappés au carreau du van de Philippe, Cécile et Mathis et c’est Philippe qui s’y colle. Il explique sa (notre) situation aux gardes, puis tente de dire qu’il avait des places de camping offertes par son agence, ce qui était vrai, mais comme ce n’était pas bien organisé, impossible de savoir pour quel camping mais en tout cas pas pour celui là. Au cours des tractations, Philippe estime quand-même qu’il pourrait aller s’habiller avant de continuer à discuter. A cette remarque, notre gentleman-le-garde détourne la tête d’un air très gêné, qui voulait dire (à la manière brittish bien sûr ! ) ce grand mensonge : « Oh My God, je n’avais pas remarqué que vous étiez en petite tenue ! » Philippe va donc s’habiller tranquillement non sans que le garde lui ait demandé combien nous étions, nous, dans le van, ce à quoi il répond évasivement « je sais pas moi, à peu près trois » (genre on ne s’est pas trop parlé, mais bon, avec quand-même un câble tiré entre nos deux vans pour accrocher une lampe, deux tables côte à côte et sept chaises, ce qui limite sa crédibilité… Ceci j’imagine, bon seigneur, pour le cas où nous aurions tenté de dissimuler Flo dans la capucine pour ne pas payer sa place… ) A notre tour donc d’être réveillés par des petits coups à la fenêtre du van. Moi je crois que c’est nos nouveaux amis, donc on ne se presse pas vraiment. A la troisième tentative du garde, un peu plus insistante, Flo ouvre un peu le rideau et dit « Maman, c’est les gardes ! ». Tout comme Cécile avec Philippe, j’envoie Raph au front bien évidemment. J’entends le garde dire : « No vacancies, you could have penalty… ». Et là, Raph a le choix entre se confondre en explications en anglais sur le pourquoi du comment, ou de faire mine de ne pas comprendre, ni « vacancies », ni « penalty ». A votre avis, qu’a-t-il choisi comme option ? Toujours est-il que quelques minutes après, sur l’affiche où « no vacancies » était inscrit en imprimé, en dessous à la main, ils avaient rajouté « = camping full » !

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Après un petit déjeuner commun, nous quittons nos amis pour redescendre vers Akaroa, petite baie près de Christchurch.

Au bord de la route, sur les rochers, nous attendent une bonne centaine d’otaries à fourrure. Comme elles ne sont pas farouches, nous pourrons les approcher de près, jusqu’à ce que Flo me crie : « N’avance plus maman, il y en a une qui a l’air de vouloir t’attaquer ! » Qu’est-ce que ça fait du raffut, ces bestioles, comme des chiens qui aboient et hurlent à la mort !

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A Akaroa, le cadre est bucolique et nous apprécions de nous balader près de ce petit port. Le monde étant petit, nous y retrouvons aussi, bonne surprise, nos Allemands rencontrés en Birmanie.

Nous prenons un petit bateau pour accéder à un banc de dauphins. Sur le bateau, un chien avec un gilet de sauvetage a eu toute l’admiration de Flo.

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Retour à Christchurch, remise du camper-van, et voici maintenant le moment de partir pour de nouvelles aventures et nous vous retrouverons donc d’ici peu pour vous raconter le Chili ! D’ici là, n’oubliez pas de participer à notre concours !

Rédigé par Textes : Sandrine Photos : Raphaël

Publié dans #Asie

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B
j ai vraiment tros tros tros tros hâte de te voir !!!!!!!!!!!!!!
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B
coucou floflo j 'espère que vous allez bien j 'ai hâte que vous revenez et passe le message a tes parents et a ton frère j ai hâte que tu me raconte toute tes aventures des fois je regarde les photos pour vous voir mais des fois non car ça donne envie ,mais je me force
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